UNE EMPRISE POLITIQUE ET ÉCONOMIQUE
En outre, les médias influencent grandement le peuple québécois , surtout face au point de vue politique. De ce fait, la plupart de gens, sous l’emprise de ceux-ci, se permettent de modifier leur propre décision en fonction de celle que les télédiffuseurs affirme être la décision des Québécois. Prenons, par exemple, le cas des élections de 2008 pour le nouveau gouvernement canadien. Les publicités lancées par l’un ou l’autre des principaux partis, soit le parti libéral et le parti conservateur, n’étaient que pour salir l’image de l’autre. Elles ne faisaient que décourager les gens face à leur choix, qui serait bien difficile vu qu’aucun des chefs n’était très aimé ici. Les chaînes télévisées se mirent donc à faire des sondages, à divulguer les promesses de chaque parti pour l’élection et à nous faire croire gros. La nation ne se rendait alors pas vraiment compte de ce qui se passait, mais la chaîne de télévision était en train de préciser notre choix selon leurs dires. En effet,
L'influence des médias sur le vote s'est encore confirmée. Avec une marge d'erreur de 1,2% au Québec et de 3% à l'échelle nationale sur les résultats, le poids médias confirme le rôle et la responsabilité des médias sur l'exercice démocratique. Lors des élections de 2007, le poids médias des partis avait eu une marge d'erreur moyenne de 1,6%.[1]
En outre, les médias influencent grandement le peuple québécois , surtout face au point de vue politique. De ce fait, la plupart de gens, sous l’emprise de ceux-ci, se permettent de modifier leur propre décision en fonction de celle que les télédiffuseurs affirme être la décision des Québécois. Prenons, par exemple, le cas des élections de 2008 pour le nouveau gouvernement canadien. Les publicités lancées par l’un ou l’autre des principaux partis, soit le parti libéral et le parti conservateur, n’étaient que pour salir l’image de l’autre. Elles ne faisaient que décourager les gens face à leur choix, qui serait bien difficile vu qu’aucun des chefs n’était très aimé ici. Les chaînes télévisées se mirent donc à faire des sondages, à divulguer les promesses de chaque parti pour l’élection et à nous faire croire gros. La nation ne se rendait alors pas vraiment compte de ce qui se passait, mais la chaîne de télévision était en train de préciser notre choix selon leurs dires. En effet,
L'influence des médias sur le vote s'est encore confirmée. Avec une marge d'erreur de 1,2% au Québec et de 3% à l'échelle nationale sur les résultats, le poids médias confirme le rôle et la responsabilité des médias sur l'exercice démocratique. Lors des élections de 2007, le poids médias des partis avait eu une marge d'erreur moyenne de 1,6%.[1]
Les différents publicitaires et télédiffuseurs affichaient des sondages et des articles pour nous démontrer lequel était le plus aimé et cela a poussé une bonne partie de la population à voté en ce sens, sans vraiment penser à l’importance de leur choix. Par conséquent, cette situation confirme l’influence médiatique au point de vue politique.
[1] Infopresse. « Élections: les médias confirment leur influence », [en ligne], page consultée le 29 septembre 2009, http://www2.infopresse.com/blogs/actualites/archive/2008/10/16/article-28718.aspx.
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